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Aide association : pourquoi opter pour le don régulier ?

Les dons sont des outils qui servent à activer la solidarité des citoyens et permettent aux associations sans but lucratif d’obtenir les moyens de financer des projets. On se demande souvent quel est l’impact d’un don à une association ou à une fondation. Et bien qu’elle puisse sembler insignifiante, l’aide, quelle qu’elle soit, peut avoir un impact considérable sur les besoins. Elle peut être nécessaire pour soutenir des causes qui favorisent des valeurs telles que la solidarité, la camaraderie et l’empathie.

Quels sont les avantages du don régulier ?

Il y a plusieurs avantages à s’engager à faire un don régulier ou ponctuel  :

·         une tranquillité d’esprit supplémentaire : vous contribuez automatiquement chaque mois, sans avoir à vous en soucier ou à risquer d’oublier. Votre contribution est débitée de votre compte de manière régulière et sécurisée, sans aucune action de votre part.

·         Un meilleur contrôle : votre soutien financier est réparti sur toute l’année, ce qui facilite l’établissement d’un budget. Vous versez le montant que vous souhaitez, quand vous le souhaitez. Vous recevrez également des informations supplémentaires sur nos activités (comme des rapports sur l’utilisation de vos dons).

·         Une liberté supplémentaire : vous pouvez ajuster le montant de votre don mensuel à tout moment et demander l’arrêt de votre aide financière ;

Les différents types de dons pour une association

Chaque association est guidée par une mission et des valeurs, et accomplit sa tâche dans un domaine d’action spécifique. Cela permet d’agir dans un secteur particulier de la population ; c’est pourquoi il existe différentes manières de faire des dons, comme par exemple :

  •      Don régulier,
  • dons ponctuels,
  • microdons,
  • parrainage,
  • vente de produits,
  • testaments de solidarité,
  • crowdfunding,
  • dons en nature et bénévolat.

Les dons sont un élément fondamental de nombreux projets, surtout si les ressources qui leur sont allouées ou les contributions institutionnelles ne couvrent pas les besoins qui les ont motivés.

Pourquoi faire un don ?

Une donation est donc une contribution, généralement privée, qui vise à donner une impulsion à des initiatives de toute nature. Ceux qui font le don comprennent l’importance du travail effectué et décident donc de faire un don financier ou en nature. Parmi les raisons les plus significatives du soutien par les dons, les deux suivantes ressortent :

·         L’engagement social. Des milliers de personnes prennent la décision de faire un don régulier pour renforcer leur engagement social. Ils reconnaissent l’existence d’un problème ou d’un manque dans leur environnement qui doit être résolue et ils se mobilisent et agissent pour y parvenir.

La satisfaction personnelle. Se sentir bien dans sa peau est une autre raison courante de faire un don régulier. Ou plutôt, le fait de savoir que, d’une certaine manière, nous contribuons à résoudre les problèmes de l’environnement dans lequel nous vivons et à en atténuer les effets négatifs.

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Comment fonctionne mon abonnement mypizzadoor ?

Qu’on soit restaurateur ou simple particulier voulant intégrer le secteur, rassurez-vous l’abonnement mypizzadoor est abordable. Selon le nombre de vos Dap ou Distributeur automatique de pizza, l’abonnement peut aller de 3 euros HT par mois à 12 euros par Dap.

L’abonnement mypizzadoor, formule gagnant pour les restaurateurs

Le fonctionnement du concept mypizzadoor est simple, car il optimise la gestion de l’ensemble de ses distributeurs automatiques. Une fois qu’on est sur le site, abonnement au forfait voulu payé, on peut entrer don son compte personnel de gestion en utilisant un login (ID) et un mot de passe. Selon l’offre, les fonctionnalités diffèrent et justifiées selon les besoins des utilisateurs du concept. En effet, tous les forfaits, qu’il soit Bronze, Silver, Gold ou Platinium donne l’accès à l’espace. Les pizzaïolos, les restaurateurs ont aussi la possibilité de choisir le mode retrait sans contact pour leurs machines, bonne nouvelle ! Cette nouveauté qui permet aux acheteurs de procéder au retrait de sa commande instantanément sur son smartphone. Sur Play Store ou Apple Store, les clients vont pouvoir se procurer l’outil « Nom de ma pizzeria » pour retenir les pizzas disponibles au distributeur automatique de pizza, les achètent via les moyens de paiement disponible et obtiendront le code de retrait vers le distributeur de son choix. Pour retirer sa commande au distributeur, rien de plus facile ! Via l’écran tactile, il faut choisir « retirer sa commande ». Viendra, en suite, l’insertion du code de retrait communiqué auparavant, et hop ! Les pizzas à souhait sortent au distributeur automatique à pizza en temps voulu (un délai maximum est instauré).

Mypizzadoor service abordable et rentable

Faire des bénéfices en installant un distributeur à pizza est facile, il suffit de faire l’étude du projet. Mais en termes de dépenses, quelques euros suffisent pour l’abonnement au service. Le forfait le moins cher est le pack Bronze à 3 euros par mois et par Dap si le plus cher en fonction du parc est le pack Gold à 12 euros par mois par Dap additionné de 20 euros par mois par parc. Le prix de l’abonnement est abordable par rapport à la possibilité qu’offrent les outils de gestions. Vous allez pouvoir personnaliser vos offres et mettre vos clients au cœur du métier par le système de fidélisation, par les codes promo, par les formules commerciales. L’option « sans contact » est aussi disponible sur les offres de la société Adial. Il suffit de télécharger l’application mobile de vente en ligne, de peaufiner sa commande d’entrer le code reçu, et votre prizza sortira tout chaud. Un nouvel outil de la vente en ligne qui vient compléter l’abonnement pack « Gold » mais qui n’est possible que sur les appareils pizzadoor entièrement tactile.

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Comment bien gérer son exploitation agricole ?

Votre projet d’exploitation agricole est ficelé, et il ne reste plus qu’à entamer la première pioche, les premiers gestes d’un vrai éleveur… Mais il semble que le chemin est encore long et les doutes s’installent, parce que les activités et la gestion de l’affaire se complexifient de plus en plus de nos jours. Comment s’assurer de réussir son exploitation agricole ? Il suffit parfois de tourner autour de quelques points principaux.

L’organisation de son exploitation agricole

Le domaine agricole est une affaire de constance et de persévérance. Il est indispensable d’avoir un plan de travail efficace pour maintenir le cap. Ce document permet notamment de mettre en place la programmation des différentes tâches, nombreuses et diversifiées dans le domaine agricole : travail du sol, vérification des plantations, alimentation des animaux, suivi des interventions des opérateurs, gestion des engins et des outils… Il ne faut pas non plus oublier l’organisation comptable, une facette dont il faut tenir compte tous les jours, car elle aide aussi à la gestion de chaque activité au quotidien.

Evaluation de son exploitation agricole : forces et faiblesses

Il s’agit d’avoir une exploitation agricole moins sensible aux événements ou situations de risque (climat, pénurie de nourritures animales, etc). Il s’agit ainsi d’analyse et d’évaluer des facteurs internes comme les ressources et capacités financières, les ressources humaines, le savoir-faire de l’équipe… Il faut également les facteurs externes constitutifs d’opportunités (naissance de nouveaux débouchés, valorisation de produits dont on a la spécialité, digitalisation des activités…) et de menaces (changement de comportement des consommateurs, hausse du coût énergétique…).

Exploitation du temps : la gestion du temps comme principal atout

C’est un aspect crucial de l’exploitation agricole, sachant que les activités dans ce secteur sont très prenantes. On peut se tourner vers diverses solutions permettant d’optimiser ou de réduire son temps de travail : mécanisation, robotisation, utilisation de technologies de gestion (GPS, logiciels agricoles…).

Gestion des ressources humaines en exploitation agricole

Souvent, l’exploitation agricole ne se limite plus à la cohorte familiale, tant le travail est vaste et diversifié. Il est aujourd’hui de mise de s’offrir les services de salariés spécialisés dans des domaines d’activité dont on n’a pas la notion : informaticien, spécialiste en marketing, ainsi de suite.

S’informer sur la situation du marché agricole et agroalimentaire

Avoir des sources d’informations sous la main est fondamental, pour ce qui est de l’amélioration de son exploitation agricole. Les avancées techniques et réglementaires dans le domaine agricole sont régulières et ne sont pas forcément à la vue de tous. Il est fortement recommandé que vous vous renseignez dans la presse rurale de manière constante.

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Comment devenir bénévole au sein d’une association ?

Les bénévoles sont des acteurs incontournables pour une association. Ils permettent de mettre en œuvre divers actions sociaux envers la collectivité. Ce sont des ressources importantes pour une association afin de réaliser des activités plus facilement, mais aussi à moindre coût car on sait tous que les moyens ne sont pas illimités. C’est avant tout le désir d’aider et l’envie de s’engager pour une cause qui fait leur force, et beaucoup d’associations sont à la recherche de bénévoles pour renforcer leur équipes.  Voyons ici qui peut devenir bénévole, qu’est-ce qui peut motiver l’engagement, et pour quel type d’association s’engager?

Qui peut devenir bénévole ?

Pour devenir bénévole au sein d’une association, seule l’engagement morale est requis. En effet, toute personne désirant soutenir et accompagner une association dans la réalisation d’actions caritatives et humanitaire peut le faire. Il n’y a pas de critères ou d’aptitudes spécifiques pour devenir bénévole. Les associations n’émettent pas de conditions pour ouvrir ses portes, pas de conditions de genre, d’âge, de provenance, de croyance, d’aptitude physique, ni de position sociale. L’association se charge de définir le type d’activité adéquat à chacun de ses bénévoles, qui ne présentent pas trop de risques ou de contraintes par rapport à l’envie, aux conditions physique et à la disponibilité.

En effet, un bénévole doit simplement pouvoir faire don d’une partie de son temps libre, en dehors des activités professionnels et familiales, pour venir en aide ponctuellement ou régulièrement et de manière désintéressé à une association.

Pourquoi devenir bénévole ?

Plusieurs facteurs peuvent pousser un individu à devenir bénévole au sein d’une association : une prise de conscience, ou suite à des incitations et encouragements, ou le plus fréquemment suite à des expériences de vie. 

Devenir bénévole est ainsi motivé par une envie de s’engager au service du collectif pour soutenir une cause qui tient à cœur. C’est un désir d’aider des personnes que l’on croit être en détresse et sans rien demander en retour. Devenir bénévole c’est aussi se rendre utile pendant ses temps libre pour aider les autres, que ce soit les personnes accueillis, mais aussi les autres bénévoles et les membres de l’association. Un bénévole peut ainsi apporter sa contribution dans la lutte contre l’isolement et l’exclusion, pour favoriser l’insertion sociale et professionnel avec des aides matériels et des accompagnements. Il participe à divers activités et actions sociales tels que les maraudes, les visites, les aides alimentaires, les distributions de matériel, les aides administratives ou l’accompagnement vers l’emploi.

Conseil : bien choisir son association avant de s’engager

Pour que l’expérience de bénévolat se passe bien, le choix de l’association est important. Il est d’abord primordial de choisir un organisme qui a des missions et des causes qui tiennent à cœur. Pouvoir partager les valeurs et les engagements principaux est capital pour la motivation si l’on veut devenir bénévole. La fréquence et les moyens de déplacement vers les structures de l’association est à prendre en compte. Et il faut aussi savoir que le bénévolat ne doit pas empiéter ni concurrencer le travail rémunéré, et ne doit pas être contraignant pour la vie de famille, que ce soit financièrement ou socialement. Il est aussi conseillé de choisir une association loi 1901 ou des organismes reconnues dans l’humanitaire pour garantir l’efficacité des actions à entreprendre.

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Quelle part de la taxe d’apprentissage peut-on verser à une association ?

En matière d’impôt sur les revenus et sur les sociétés, la taxe d’apprentissage est sans doute l’une des seules qui permettent à une entreprise de participer directement au développement du secteur emploi. Dans quelle mesure utilise-t-elle cette taxe pour financer une association ?

Taxe d’apprentissage : la part solidaire

La taxe d’apprentissage est devenue un prélèvement à doubles fractions depuis une nouvelle loi en 2018 concernant le droit de choisir son avenir professionnel. La première partie est constituée de 87% de la somme à prélever. Elle est versée au Trésor public par le biais d’organismes spécifiques chargés de sa collecte, à savoir : les URSSAF (ou Unions de Recouvrement des cotisations de Sécurité Sociale et d’Allocations Familiales). La somme perçue sert à financer l’apprentissage au niveau régional.

La seconde fraction de 13% est dédiée à ce qu’on appelle « dépenses libératoires ». Ce versement sert notamment à financer des associations caritatives de formations technologiques et professionnelles ou des organismes d’insertion socio-professionnelle. C’est cette partie que l’entreprise va pouvoir utiliser librement pour favoriser la formation et l’apprentissage.   

Taxe d’apprentissage : à propos du versement libératoire

La part libératoire de la taxe d’apprentissage est une participation solidaire à la politique générale en matière de développement du secteur de l’emploi. À la différence de la grande partie de cet impôt dédié à la formation (les 87%), ces 13% peuvent être versés à un organisme du choix de l’entreprise. Il a aussi le choix entre un versement pécuniaire et l’octroi de matériels de valeur au moins égale au montant de la taxe.

A qui donner sa taxe d’apprentissage ?

Le choix du bénéficiaire de la taxe d’apprentissage est donc en partie libre, du moment qu’il répond aux critères établis. Elle bénéficie uniquement à des organismes caritatifs qui participent à un plan d’insertion ou de réinsertion. Une liste est établie et réactualisée régulièrement par le Pouvoir public. Parmi les établissements que les entreprises peuvent choisir, on peut citer les centres de formation pour jeunes à situation précaire, les centres d’insertion et de réinsertion pour détenus en probation, les fondations pour apprentis…

Comment verser sa taxe d’apprentissage ?

Pour procéder au versement libératoire, les entreprises imposables ne sont pas tenues de le régler auprès d’un intermédiaire. Elles peuvent s’acquitter de cette taxe directement auprès de l’établissement choisi. Un formulaire est envoyé à celui-ci pour règlement. Une attestation de versement est remise à l’entreprise, pour servir de justificatif auprès des autorités fiscales ou des URSSAF.

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Débutants : les bases du foil surfing !

Le foil surfing est une pratique un peu plus complexe qu’on peut se laisser penser, en voyant certains wing foilers dompter si aisément le vent et les vagues. Derrière les acrobaties aquatiques que les adeptes semblent si bien maitriser, il y a de nombreuses années d’apprentissage, de hauts et de bas…

Les conditions pour apprendre le foil

Pour apprendre le efoil, il faut avant tout être à l’aise sur sa planche, ou apprendre à l’être. Cela part de l’acquisition d’un bon équilibre et de la maîtrise de ses membres. Tout ce qui peut permettre d’arriver à ce niveau de stabilité naturelle sur un objet en mouvement est bon. Si on est déjà surfer, il ne faut pas hésiter à se jeter dans l’eau avec la première planche à foil qu’on peut trouver, quelles qu’en soient les caractéristiques. 

La connaissance ou l’apprentissage de toutes les techniques de base en matière de surf sont aussi indispensables, notamment celles qui permettent de faire mouvoir l’équipement : roller, jibe, pumping, cut back, aerial, entre autres manœuvres. Une fois ces préalables accomplis, il est temps de bien comprendre son foil.  

Le choix de son matériel de foil pour débutant

Au début, cet appendice situé sous la planche est plus une problématique à gérer qu’une solution qui procure un réel plaisir. Mais le résultat est toujours fonction du choix du foil et de la manière dont on l’utilise. Car une fois qu’on dispose du matériel adéquat et qu’on maîtrise le foil, le bonheur au-dessus des vagues est incomparable.

Pour débuter en foil surfing, les premières recommandations se concentrent toujours sur le choix d’un foil à mât court, à ailes larges et à fuselage long, pour obtenir un excellent rapport stabilité et rapidité de remontée. Il n’est cependant pas interdit pour les surfeurs qui ont acquis un équilibre naturel d’opter pour un foil ayant des caractéristiques contraires, pour privilégier la vitesse de pointe. Toujours est-il que le foil à mât en alu est préconisé, car il est plus solide et résiste au programme de formation intensif.

Comment faire fonctionner son foil ?

Hormis la maitrise de la planche et d’un éventuel moyen de propulsion ou de traction (wing, kite, pagai…), le foil surfing consiste surtout à profiter au maximum de son foil. Certains adeptes en font même leur principal outil de propulsion, en usant de la technique du pumping. Car pour faire fonctionner le foil, il faut cette énergie qui procure une pression suffisante sur les ailes, à la fois pour faire avancer la planche et pour le surélever.

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Connaître l’interprétation de la couleur de marquage piquetage

Afin d’être en accord avec la réglementation anti-endommagement appliquée à partir du 1er janvier 2017, les entreprises doivent désormais faire appel à des professionnels de réseaux pour s’assurer de la fiabilité de leurs biens et de leur personnel humain. Ainsi, des méthodes et des outils ont été développés par ces prestataires afin d’organiser correctement leurs tâches. L’adoption de couleur marquage-piquetage en fait partie. Il s’agit d’une technique utilisant des éléments visuels pour aider les techniciens à mieux se repérer sur le terrain. Chacun élément une signification bien précise que le Groupe NAT a pris soin d’expliquer.

 

Pourquoi des éléments visuels ?

Il faut d’abord savoir que la couleur marquage piquetage est apposée sur le sol pour servir de signalisation lors des opérations sur terrain. Cette technique est aussi bien utilisée avant le démarrage des travaux que lorsqu’ils sont achevés. L’équipe du Groupe NAT effectue donc des études préalables avant le marquage en vue de tout travail souterrain (câblage et réseaux). Le choix d’avoir recours à des éléments visuels est qu’ils sont facilement repérables, à condition de se familiariser avec leur signification. Les professionnels du bâtiment doivent alors étudier minutieusement chacun d’eux avant de rejoindre l’équipe technique. Il est à noter que la méthode de marquage suit les dispositions prévues par l’article R554-27 du Code de l’Environnement.

 

Comment interpréter la couleur marquage-piquetage ?

Neuf couleurs sont utilisées pour cette technique.

  • Rouge : électricité BT, HTA ou HTB et éclairage
  • Jaune : gaz combustible (transport ou distribution) et hydrocarbure
  • Orange : substances chimiques
  • Bleu : eau potable
  • Marron : assainissement des eaux usées et pluviales
  • Violet : chauffage et climatisation
  • Vert : télécommunication
  • Blanc : feux tricolores et signalisation routière
  • Rose : zone d’emprise multi-réseaux

 

Un PV à dresser pour le marquage-piquetage

Pour le cas du Groupe NAT, un procès-verbal est obligatoirement à rendre, car il suit les normes AFNOR (plus précisément la norme S 70-003-1). En outre, un modèle a été d’ores et déjà prévu par cette norme. Toutes les données requises sont à saisir sur une tablette afin de faciliter la procédure. Ces informations sont ensuite transmises aux professionnels compétents.

 

Même si l’interprétation de la couleur marquage-piquetage par le Groupe NAT semble minimaliste à première vue, il faut absolument être initié à la méthode avant de pouvoir travailler sur le tas. Chacune des couleurs est à mémoriser par cœur pour être le plus efficient possible lors des travaux. Cela permet d’avoir des installations fiables, durables et comportant un minimum de risques.

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Les avantages et les inconvénients de travailler dans l’électronique

L’électronique est définitivement une famille de métiers qui s’inscrit dans la durée, compte tenu du nombre des applications et des domaines d’utilisation. Travailler dans ce domaine assure une activité rémunérante et stable sur encore une longue période. Mais faut-il totalement miser sur ce secteur ?

Les avantages de travailler dans le secteur de l’électronique

L’électronique est un secteur sans cesse en développement, que ce soit en termes de technicité ou de productivité. Cela implique un élargissement des offres de travail et leur disponibilité. Et sachant qu’il s’agit d’un domaine très technique, nécessitant rigueur et concentration accrues, les entreprises opérant dans ce secteur ne lésinent pas en matière de traitement du personnel. Les avantages en nature sont nombreux et divers :

Flexibilité des horaires de travail

En dehors de vastes possibilités d’aménagement horaire et de congé, le secteur de l’électronique offre aussi des possibilités en matière de travail à distance. Mais dans un bon nombre de cas, il faut les négocier par avance.

Période de repos prolongée

Dans le domaine de l’électronique, l’on retrouve aussi un grand nombre d’entreprises qui propose des RTT (réduction du temps de travail) importantes, sans augmentation des heures de travail hebdomadaires, ce, dès 2 ans d’ancienneté.

Primes et indemnités

L’électronique est aussi parmi les secteurs qui proposent le plus de compléments de salaires : primes d’intéressement qui peut s’élever à plus de 900 euros par an, treizième mois (plus de 40% des employeurs en France en proposent), etc.

Autres traitements

Tickets restaurants, panier repas, protection sociale et d’autres services comme la crèche sont disponibles chez la plupart des entreprises opérant dans l’électronique.

Les écueils et inconvénients du domaine de l’électronique

Sachant qu’il s’agit d’un domaine où les compétences des salariés doivent être au maximum, il peut arriver que les entreprises aient du mal à recruter, où que les salariés ne durent pas au poste. Le secteur de l’électronique couvre également une multitude d’activités parmi lesquelles il faut bien choisir, pour éviter de futurs soucis en matière d’aptitude. 

Comment se tenir face aux enjeux de l’emploi dans l’électronique

Pour assurer une carrière stable et une rémunération satisfaisante au sein de ce secteur, il vaut mieux s’assurer la meilleure formation électronique. La solution est de contacter un établissement de formation qui puisse accompagner le candidat dans son choix, mais qui connait aussi ce domaine d’activités. L’organisme Aforp est justement partenaire de milliers d’entreprises industrielles, dont au moins la grande majorité inclut des métiers de l’électronique.

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Faire un BTS en an : quels sont les avantages ?

Alesia vous offre l’occasion de vous fournir des formations en vue de sanctionner un diplôme d’état en un an seulement. Dans cette optique, vu que le parcours sera à la fois chargé et difficile, les étudiants pourront compter sur l’appui et les conseils avisés des responsables au niveau de l’établissement. En effet, l’équipe administrative et pédagogique pourra vous aiguillonner et vous prêter main-forte tout au long du processus. À chaque étape en vue de l’exécution de votre projet, ils pourront entre autres :

  • vous fournir des conseils et des détails se rapportant à la formation la mieux appropriée à vos perspectives, votre résolution professionnelle tout en tenant compte de vos compétences. Le but est de vous assister pour vous permettre de faire le bon choix. Vous aurez à passer un entretien individuel et on vous informera sur les métiers et débouchés sur la base de votre choix.
  • Vous soutenir lors du montage de votre dossier de financement
  • vous présenter un parcours de formation personnalisé, de par les entretiens de suivi, les cours de soutien, le suivi pédagogique et l’appui psychologique
  • tout mettre en œuvre pour vous permettre de suivre votre formation dans les meilleures conditions. Pour leur faciliter la tâche, les étudiants pourront avoir accès à un Centre de ressources, accès internet, crédit de copies et d’impressions.
  • vous fournir un accompagnement si nécessaire ultérieurement votre formation dans le but de faciliter votre réintégration dans le milieu professionnel.

Quels sont les BTS que l’on peut accéder en un an ?

Pour vous donner un petit aperçu et vous aider à faire le bon choix, voici une liste des BTS lille accessibles en un an seulement et en alternance :

  • BTS Gestion de la PME, à titre d’exemple le BTS AG
  • BTS Assurance
  • BTS Banque – Conseiller de clientèle particulier
  • BTS Comptabilité Gestion, entre autres le BTS CG
  • BTS Management Commercial Opérationnel, à titre d’exemple le BTS MUC
  • BTS Services Informatiques aux Organisations, option Solutions d’infrastructures et réseaux (SIO option SISR)
  • BTS Services Informatiques aux Organisations, option Solutions logicielles et applications métiers, telle que le SIO option SLAM

En résumé, Alesia s’efforce de faire le maximum afin de former les étudiants dans les meilleures conditions possible.  Pour faire le point sur vos aspirations professionnelles n’hésitez pas à consulter le site de L’Etudiant, contenant notamment un certain nombre de fiches descriptives des différentes formations en BTS.